Léa Merlhiot, née en 1995, est une artiste peintre, qui vit et travaille à Paris. Evoluant dans un univers surréaliste et coloré, son travail s'articule autour de la peinture, du dessin, de la performance et de l'installation. 

Dans son travail, elle souhaite ouvrir un espace poreux entre le rêve et la réalité. Ses peintures sont une invitation au pays des songes et des chimères, elle tente d'explorer ce qui se cache sous les replis de la réalité et de la conscience. 

A travers l'expérience organique de la peinture, elle mène une recherche vers l'indicible et les secrets enfouis de l'inconscient. 

Véritable refuge et nécessité, la peinture lui permet d'exprimer ses émotions, et de retrouver son œil d'enfant. 


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Ses travaux ont été présentés dans différents endroits en France, entre autres au Centre Ruth Bader aux Halles à Paris, au festival Remue Ménage à Domont, au festival Les Luminescentes à Valmondois, à la galerie Louis Simon et à l’espace Malve à Royan, ainsi qu’en résidence à la Halle Papin, à la Gare XP, et au Shakirail à Paris. Dernièrement, elle a fait une performance pour la soirée La Nuit des fous au Musée du Louvre à Paris, ainsi qu’à la soirée d’ouverture « le Sacre » au GROS LOT, à Gennevilliers. 

Prochainement, avec le collectif LÀLÉ, elle prépare une exposition, et
un court métrage Les Larmes d’Alluminium, ainsi qu’une performance et installation - “les pleurieuses” au GROS LOT (Gennevilliers) en juillet. 

Une résidence est  prévu à la Casa Régis (Italie, août 2025)




En 2023, elle crée le collectif LÀLÉ, avec Laura Caron, écrivaine-acrobate et assistante d’auteur de Valère Novarina. Elles mènent une recherche conjointe et travaillent main dans la main, depuis 10 ans à la poursuite des idées post surréalistes. Artistes-chercheuses pluridisciplinaires et indisciplinées, elles développent une démarche où elles font se rencontrer différents médiums, peinture et poésie, expériences collectives, films expérimentaux (cinépoème) et performances in-situ.
La même année, elles montent l’exposition POROSITÉ, qui mêle peinture et poésie et écrivent leur premier manifeste à quatre mains; Leur recherche se consacre par la suite aux champs de la performance et de l’improvisation en tant qu’ouverture pour « soigner le réel avec l’imaginaire».

Elles pratiquent le dessin et l’écriture automatique lors de leur performance.  

Leur démarche artistique se situe aux frontières de l’imaginaire : réparer le réel en jouant avec le hasard. 
















© Lea Rose Merlhiot - 2024-25