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Léa Merlhiot est née en 1995, vit et travaille à Paris.

“J’explore le corps, comme un espace de mémoire, de tension et de transformation, à travers une pratique pluridisciplinaire mêlant peinture, performance, vidéos, installations et céramique.
J’interroge les assignations, les métamorphoses et les pouvoirs du corps, en particulier du corps féminin : ce qu’il montre, ce qu’il cache, ce qu’il retient.
Je puise dans mon histoire personnelle, mais aussi dans des récits intimes et collectifs, du réel aux rêves, jusqu’à la mythologie.
Le corps devient pour moi maison de la mémoire : j’y cherche à transformer le souvenir en matière.
- Le corps se met à transpirer, et de la sueur, il faut donner vie, mettre au monde les brumes -

Le corps devient territoire d’expérimentation, dans mes performances, le costume, en tant que parure et protection, déploie une poétique du corps où se rencontrent force, vulnérabilité et transformation.En revisitant les contes et les mythes, je cherche à réactiver des récits fondateurs de notre mémoire collective, révélant leurs silences et leurs voix effacées.”

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Ses travaux ont été présentés dans différents endroits en France, entre autres au Centre Ruth Bader aux Halles à Paris, au festival Remue Ménage à Domont, au festival Les Luminescentes à Valmondois, à la galerie Louis Simon et à l’espace Malve à Royan, ainsi qu’en résidence à la Halle Papin, à la Gare XP, et au Shakirail à Paris. Dernièrement, elle a fait une performance pour la soirée La Nuit des fous au Musée du Louvre à Paris, ainsi qu’à la soirée d’ouverture « le Sacre » au GROS LOT, à Gennevilliers.

Prochainement, avec le collectif LÀLÉ, elle prépare une exposition, et un court métrage Les Larmes d’Alluminium, ainsi qu’une performance et installation - “Guerrieuses” au DOC! en 2026.